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Question posé par Jean-François :

Qui est tombé dans le grand étang  le 1er Aoute avec son lampion ?

1ère réponce d'Irène:  Moi je Sais  na na na n  !!

P'tit Claude: Un indice ??

Irène : Nan Nan on attend du renfort

P'tit Claude : Bon alors je vais vidé l'étang pour y aller voir qui c'est !!!

Jean-François : rigole mais ne donne pas le réponce !!

Mon foyer, c’est pas ma famille

RTS La 1ère, Vacarme, les reportages de Véronique Marti, diffusés du 25 au 31 août 2014                             

 

Pendant une semaine, l’émission Vacarme s’est intéressée aux enfants placés loin de leur famille et au            travail tout en subtilité accompli par les éducateur·trice·s au Foyer de Pierre-Grise, à Genthod, un foyer de la Fondation officielle de la jeunesse (FOJ). Ce foyer accueille des enfants entre 4 et 14 ans placés de gré      ou de force dans cet internat en attendant des jours meilleurs. Problèmes parentaux, crises familiales,            troubles du comportement : les raisons du placement de ces enfants sont multiples. Comment vivent-ils cette parenthèse qui peut durer plusieurs années ? Quelles sont les causes et les conditions du placement    d’enfants aujourd’hui ?

Avec plusieurs éclairages :                                                                                                                                                     

Les parents. Certains parents ont décidé eux-mêmes de placer leur enfant. D’autres se sont vus invités par le Service de protection des mineurs ou contraints par un juge de les laisser partir en foyer. Mais les             parents, même débordés, atteints dans leur santé, en crise, voire maltraitants, restent des parents…              

Les crises. Comment réagir à la colère des enfants ? A Pierre-Grise les crises sont fréquentes. Elles sont       souvent brèves mais il arrive aussi que les services d’urgence doivent intervenir et emmener un                      pensionnaire à l’hôpital pour calmer ses débordements. Ce sont les éducateurs de l’institution qui gèrent au quotidien ces situations explosives tout en construisant, jour après jour, des relations de confiance        avec ces enfants en pleine rupture. Comment garder le contact face aux cris ou au mutisme ?                       

La direction.Bruno Chevrey dirige le foyer de Pierre-Grise depuis 6 ans mais n’y a installé aucun bureau. Il est révolu pour lui, le temps où le directeur d’une institution pour enfants régnait sur la maison              comme un père de substitution. « Le but c’est que ces enfants retournent vivre chez eux et que nous         finissions par devenir inutiles », rappelle-t-il. C’est dans cette perspective que Mary Jedlicka, responsable  pédagogique, reçoit régulièrement les parents pour des entretiens individuels. Pour qu’ils retrouvent la      force d’assumer leur rôle.

Après le foyer. Que deviennent les enfants de Pierre-Grise ? Comment construisent-ils leur vie d’adulte     après une enfance en foyer ? Témoignage d’Alessandro, qui a aujourd’hui 21 ans. Entre 2000 et 2007, il a vécu dans la belle maison de Genthod : des années pour lesquelles il garde une grande tendresse. Malg   la colère et la tristesse de ne pas vivre en famille.                                                                                                             

Les échos. Deux invités réagissent à des extraits de reportages diffusés durant la semaine : Olivier Baud, secrétaire général de la Fondation Officielle de la Jeunesse (FOJ). Joëlle Droux, historienne, spécialiste de l’histoire des politiques de l’enfance en Suisse, auteur de "Enfances en difficultés".

Chemin de Pierre-Grise

Description:

Chemin communal reliant la route de Rennex au chemin des Chênes. Dans la partie consacrée au               chemin des Chênes, nous avons vu que les noms de ces deux chemins avaient été interchangés. Le relevé    communal de 1811, nous indique donc: « chemin des Chênes, qui sert de communication du chemin de Rennex avec celui de Pierre Grise, du nord au sud, longueur environ 100m et largeur environ 4,30m. Le   chemin est bordé de superbes chênes, ce qui empêche de l’élargir, mais l’inconvénient est petit vu son peu de longueur. » Cette petite voie de communication est fort ancienne puisqu’on la voit très clairement sur le plan établi de 1720.                                                                                                                                                             

Ce terre de Pierre-Grise est reprit d’un lieu-dit situé sur les plans de 1720 et 1786, mais placé un peu plus  haut. Le guide des chemins historiques du canton de Genève, nous renseigne sur l’origine de son                 appellation : la proximité d’une grosse pierre en forme de navette de tisserand donna son nom et marqua la limite du domaine du même nom, appartenant aujourd’hui à l’Hospice Général et dont la maison de    maître fut élevée en 1857, au lieu-dit : « les Mouilles » pour le banquier Edouard Pictet-Prévost sur une   parcelle de 15 ha d’un seul tenant ; selon le plan Mayer autrefois partiellement en vignes et hutins,              pâturages et champs. Limité au nord par le « chemin de Collex à Genthod » à l’est par le « chemin de       Valavran » et au sud par le chemin de Pierre-Grise. Le Conseil d’Etat entérina par un arrêté du 4 mars       1955 le choix de ce nom.

Définition de l'Arrêté du Conseil d'Etat                                                                                                                           

partant du chemin des Chênes et aboutissant à la route de Rennex                                                                         

Anecdotes

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Extrais des journaux de l'époque

On retrouve le cadavre de la jeuneYvonne-BIuette Ferrât

Comment est-elle morte ?

GENEVE, 10 février. (Ag.) — Dimanche, en fin d'après-midi, sur le territoire de la commune de                    Genthod, à moins d'un kilomètre du domicile de ses parents, deux hommes qui étaient en train de                 chercher des vers pour la pêche, en bordure d'un chemin, ont découvert le corps, dans un état de                    décomposition  déjà avancé, d'une jeune fille d'une quinzaine d'années. La police a établi qu'il s'agissait de   la jeune Yvonne-BIuette Ferrât, née en 1942, Bernoise, dont les parents, jardiniers, habitent Valavran. La      jeune fille avait disparu le dimanche23 septembre 1956, alors qu'elle se rendait au temple. On ignore             encore les    causes du décès. Dans la région de Versoix                                                                                                    

Notre correspondant de Genève nous téléphone :                                                                                                           

Une laborieuse et systématique battue avec l'aide de dix douaniers, de cent  Gendarmes genevois et                d'agents de la sûreté, avec le concours également de chiens de police, a été faite vendredi par un temps            épouvantable , dans les bois, taillis et fourrés de la région , entre Versoix et Sauversy, à la frontière française, pour tenter l de retrouver quelques traces de la fillette Bluette Ferrât , disparue il y aura dimanche quinze     jours pleins , après avoir assisté au culte au temple de Genthod. On n'a pas oublié que la jeune Ferrat,            fillette de quatorze ans, n'avait que dix minutes de chemin à faire à pied pour se retrouver à Valavran,            hameau au-dessus de Bellevue, où habitent ses parents. Or, on paraît avoir à peu près acquis la conviction    que la pauvre enfant, dont l'intelligence n'atteignait peut-être pas le niveau de l'âge, n'a pas dû céder à           quelques juvéniles désirs de fugue. On serait également d'avis qu'elle n'a pas été non plus l'objet d'un            enlèvement. Si l'on fouille maintenant avec de telles forces de police et de façon systématique, tous les bois  et huiliers de la contrée avoisinant le domicile de ses parents, et cela jusqu'à la frontière française, mais non  pas au-delà , c'est sans doute qu'on a acquis la certitude qu'il y a lieu désormais de limiter strictement les      recherches à cette région-là. Et c'est le corps de la jeune Ferrât que l'on compte découvrir. Car l'on ne pense plus à la retrouver vivante.

Une première battue : sans résultat                                                                                                                                       

Malheureusement, la battue de vendredi n'a pas donné de résultat. Mais dès samedi on procédera à une        nouvelle battue analogue, et cela dans une autre forêt avoisinant la même région.  Ed. Bauty. 29 1 1957       

Quatre mois après  29 1 1957

la disparition d'Yvonne-Bluette Ferrât

Notre correspondant de Genève nous écrit ; La semaine dernière a marqué le quatrième mois de la                 disparition de la jeune Yvonne-Bluette Ferrât, l'écolière de quatorze ans, qui n'a plus été vue après qu'elle     devait s'être rendue, ce dernier dimanche de septembre, au culte du temple de Genthod. On n'a pas oublié que d'immenses battues avaient été organisées, dans la région, pour retrouver la jeune Ferrât, vivante ou       morte. Sans résultat aucun, d'ailleurs. Toutefois, à l'heure qu'il est, la police genevoise n'a nullement             renoncé à  la découvrir la vérité  

25.09.1956   PRÈS DE GENÈVE

depuis dimanche Un enlèvement ?

GENÈVE, 24. — Lundi après-midi, une trentaine de policiers genevois avec des chiens ont battu la région  de Genthod et de Versoix afin de retrouver la trace d'une fillette de 14 ans, Yvonne-Bluette Ferrât, dont le     père est jardinier à Valavran, et qui n'a pas reparu au domicile familial depuis dimanche matin , alors             qu'elle était partie pour le culte à Genthod. La disparition de cette fillette a jeté un grand émoi dans toute    la région. Selon un témoin, elle aurait été vue alors qu'elle discutait avec un automobiliste inconnu peude   temps avant sa disparition .n enquête. Ed. B.

Pierre Grise à aussi ces moments de grandes tristesse  par Exemple Christophe Fisher décèdé  à la suite d'un      arrête de coeur,  Alain Reverdin ce sucide  Le décès d'hydrocution. Edmond, Pouilly survenu  à 22 ans,              en1966, à la plage de St Prex, sous les yeux de sa femme, 3 mois après leur mariage ! il avait épousé Anne-           Marie qui avait travaillé à Pierre-Grise. il était d'une Fratrie de trois  frères et une soeurs                                                                                                                                                                                                                                                         

ily avait Léonard , Luc , qui habite aujourd'hui a la chaux-de-fond  Edmond  + et Claire leurs soeur.                                                                                                                                                                                                                                 

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