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Les petits de Pierre-Grise  de gauche à droite  Astride, Moi, Jacqueline ,Raymond , Rosemond, et Magali

Des Ecureuils de Bellerive à Pierre Grise à Genthod  

Arrivée à Pierre-Grise 20 Octobre 1953             

Des Ecureuils de Bellerive à Pierre Grise à Genthod  

 

A Bellerive, près de Genève est situé au bord du lac Léman, la Fondation Guéry est une maison allongée,                     simplement meublée, mais très accueillante, un joli jardin avec un verger et un potager, qui descend jusqu’à la            grève. Marraine Odette & Parrain François vivais aux Ecureuils de Bellerive avec 12 enfants certains Orphelin,           d’autres  leurs familles ne pouvaient plus subvenir à leurs enfants, d’autre enfants abandonner .Parrain & Marraine  avait eu une petit fille âgé de quelques mois, ils occupaient qu’une petite chambre, la vie se déroulait avec les 12        enfants dans le foyer. Une cuisinière venait aider Marraine Odette, deux heures par jour, et une femme de ménage   venait aider.                                                                                                                                                                                                 

Parrain François travaillait comme éducateur et directeur d’institution, avant d’arriver à Bellerive, il était préoccupé du fait qu’il allait prendre en charge 12 enfants, dont chaque enfants eu un parcourt différent.                                       

A Bellerive Parrain & Marraine Odette avait plus d’une décennie pour crée un doux nid  , la plus part était très          jeune à part deux ou trois étaient de très jeune déjà adolescents, en fait Parrain François & Marraine Odette avait      créé une famille à l’ancienne, c'est-à-dire un père une mère est une ribambelle d’enfants, les enfants allait à l’école du village, puis au Collège, d’autre en apprentissage, puis certain ont continué les études.                                                       

Avec Parrain François & Marraine Odette, nous avion trouvé une famille tous a fait ordinaire, on  disait avec fierté,  c’est ma maisons, c’est chez nous.                                                                                                                                                          

Parrain François & Marraine Odette nous avaient intégrés dans les paroisses Protestante ou catholique,  ils nous       laissaient  vivre notre vie d’enfants d’un village,  ont allaient joué chez nos camarades d’école  vis est versa , seul une   fillette qui était tros jeune pour aller à l’école alors elle restait à la maison,  à l’école du  village seul 8 filles et garçons   fréquentaient l’école communale , et les 3 ayant 14 et 15 ans allaient au  collège (Christophe) au collège Calvin Jean & Roland étaient  au Collège moderne  alors situé rue d’Italie   (Actuel Collège de Candolle(1)                                      

Comme je vous ai dit, nous étions pour certains orphelins, certain étaient frères & sœurs, d’autre avait   encore          leurs parents, Parrain François & Marraine Odette n’avaient jamais utilisé les noms de Papa & Maman, même si        leurs temps étaient consacré le rôle d’un Père ou d’une Mère, même si pour moi Parrain François &         Marraine    Odette, ce sont et seront toujours mes parents, aujourd’hui encore j’ai un amour indescriptibles après 70 ans, rare    jour où je n’ai pas de pensée pour eux,                                                                                                                                                 

Les Dimanche lors des visites des parents pour les enfants qui avaient encore des parents. Nous orphelins  nous           étions un peu en retraient, nous ne comprenions pas qui étaient ses gens, pour Parrain François & Marraine              Odette ses jours n’étaient pas toujours faciles.                                                                                                                                

 j’ai un souvenir assez  loin , les parents venaient par le petit chemin à l'ouest venant du portail blanc, Oui parce que il y avait deux entrées l'une à l'est l'autre à l'ouest, donc je m’étais aperçu que certains de mes frères et sœurs                (Enfants de Pierre-Grise)  ce plaçais vers ce petit chemin est attendaient là  au bous du chemin une silhouette,            marchait d’un pas tranquille quand un des enfants se mit à courir vers la silhouette ,  les bras en l’air , l’enfant ce        jetait dans ses bras, c’est alors que je me mit à regarder sur ce petit chemin, si  une silhouette viendrait une fois           pour moi , c’est là  je pense que Parrain François remarquas mon  comportement , assis attendant si une silhouette  arriverait pour moi. Parrain François un jour  vint vers moi, il s’assis à côté de moi ont restât ainsi un moment, puis il m’expliqua que ces gens qui venais depuis le petit chemin du portail blanc, étaient les papas ou mamans de             certains des enfants. Pour moi  au début cela ne signifiait pas grand-chose, Parrain François et Marraine Odette         étaient mes parents. Mais ce jour-là Parrain François, ma appris que chaque enfants, avaient un papa et une maman et que la mienne  était beaucoup tros jeune, pour m’élever et que je n’avais pas de papa c’est pour cela que Parrain     François  et Marraine Odette m’avaient pris à Pierre-Grise, cela m’a rendu un peu triste que je n’ai pas de maman et papa. Mais l’affection que Parrain et Marraine me portait, disparu. Très vite cette tristesse est peu à peu disparue. Je repris mes jeux dont le plus était d’aller me balancé sur une longue branche du grand cèdre du Liban, qui est encore aujourd’hui mon arbre préférer à qui je parlais, ne souriez pas, mais quand j’étais triste c’est vers lui que j’allais, sa      branche qui nous servaient de balançoire  me calmais de mes petit coup de blues. A Chaque fois quand je viens à      Pierre-Grise, je vais vers lui pour comme un pèlerinage, pour lui dire tu vois je ne  t’oublie pas.                                            A propos de moi                                                                                                                                                                                  

Je suis né le 30 aout 1949.Une jeune fille qui ma donner la vie cette jeune fille étant bien tros jeune je fus déposé       dans une pouponnière tenue par l’armée du salut (une association religieuse  c’est d’ici que Parrain François vint       me cherché dans cette pouponnière de l’autre côté du lac. Ce jours-là  ont m’avait habillé en belle tenus, une              Citroën 2 C.V,  était là, Un grand monsieur me pris par la main me laissa dire au revoir. Puis m’emmena vers la          Citroën, il m’ouvre la porte avant, est d’un bon je saut à l’intérieur  a cette époque pas de ceinture de sécurité dans   les voitures, et ont quitta la pouponnière par un grand portail.                                                                                                   

A genoux sur le siège, je regardais l’entrée de la pouponnière s’éloigner, j’étais fasciné de voire la maison s'éloigner et j’étais .Pour la première fois  je m’étais assis dans une automobile. La route fus longue quand nous somme arriver     au Domaine de Pierre-Grise                                                                                                                                                                   

J’ai fait connaissance de Pierre-Gris                                                                                                                                               

 il était déjà la fin de l’après-midi, Parrain François me fit entré un grand hall d'entrée sur ma gauche un escalier en    demis cercle montait à l’étage, face à l'entrée une porte à double battent donnais sur une salle à l'intérieur sur             la gauche une autre porte double vitrée, qui elle donnais  sur la grande salle à Manger, là tous les enfants étaient        tous assis autour de la longue table au bout arrondis, au centre marraine Odette était assise coté vérandas à sa             gauche et sa droite des petites filles il y avait Irène la fille, de parrain François et marraine  Odette, puis Rosemonde, jacqueline, Magali, Claire et Christiane  c'était une jolie grande fille qui aidait  Marraine Odette à s’occupé des filles ,en face Parrain François s’assit  il y avait à sa gauche et sa  droite des garçons, il y avaient Christophe, Jacky,                 Leonard, Maurice, Jean Maurice, Alain, Pierre, Jean-Paul ,Jaques ,Edmond, et moi ,un peu plus tard Raymond        vint rejoindre tous ce petit monde qui faisait Pierre-Grise ce quel est devenu.                                                                        

J’étais le benjamin pour quelques temps, mon nom P'tit Claude fut par la suite fus transformé par (Trifougnon)      est ce surnom fut inventé par parrain François, mais pourquoi (Trifougnon) ?                                                                      

Hé bien cela était très simple quand je suis arrivé à Pierre-Grise je suçais mon Index Gauche et de ma  main droite    je tournais mes cheveux au centre de mon crâne ce qui me fit une houppette sur la tête, de la Parrain François fit       une petit complainte que voici ( Trifougnon, champion quand il se gratte le trifougnon ,et quand il marche ont       vois son calçons qui dépasse de son pantalon) et tout ça sur le rythme de         marche , est ce nom me reste encore,    Luc le plus âgé des fils de parrain François & marraine Odette m’appel toujours Trifougnon ou Gnoufgnouf Ou      P’tit Claude.                                                                                                                                                                                                

Pierre-Grise Suite 1 >>>>>

 

 

Vue depuis le grand Cedre à PierreGrise

 

Vue de Pierre-Grise  depuis le sud de la proprièté

vue d'ensemble du creux de Genthod  a l'époque ont n'y allaient pour ce baignier.

Panoramique des étangs de Pierre-Grise

Des Ecureuils de Bellerive à Pierre Grise à Genthod  

 

A Bellerive, près de Genève est situé au bord du lac Léman, la Fondation Guéry est une maison allongée,                    simplement meublée, mais très accueillante, un joli jardin avec un verger et un potager, qui descend jusqu’à la           grève. Marraine Odette & Parrain François vivais aux Ecureuils de Bellerive avec 12 enfants certains Orphelin,          d’autres  leurs familles ne pouvaient plus subvenir à leurs enfants, d’autre enfants abandonner .Parrain & Marraine avait eu une petit fille âgé de quelques mois, ils occupaient qu’une petite chambre, la vie se déroulait avec les 12      enfants dans le foyer. Une cuisinière venait aider Marraine Odette, deux heures par jour, et une femme de ménage venait aider.                                                                                                                                                                                              

Parrain François travaillait comme éducateur et directeur d’institution, avant d’arriver à Bellerive, il était                   préoccupé du fait qu’il allait prendre en charge 12 enfants, dont chaque enfants eu un parcourt différent.                

A Bellerive Parrain & Marraine Odette avait plus d’une décennie pour crée un doux nid  , la plus part était très         jeune à part deux ou trois étaient de très jeune déjà adolescents, en fait Parrain François & Marraine Odette avait     créé une famille à l’ancienne, c'est-à-dire un père une mère est une ribambelle d’enfants, les enfants allait à l’école     du village, puis au Collège, d’autre en apprentissage, puis certain ont continué les études.                                                

Avec Parrain François & Marraine Odette, nous avion trouvé une famille tous a fait ordinaire, on  disait avec            fierté,  c’est ma maisons, c’est chez nous.                                                                                                                                           

Parrain François & Marraine Odette nous avaient intégrés dans les paroisses Protestante ou catholique,  ils nous     laissaient  vivre notre vie d’enfants d’un village,  ont allaient joué chez nos camarades d’école  vis est versa , seul une fillette qui était tros jeune pour aller à l’école alors elle restait à la maison,  à l’école du  village seul 8 filles et garçons fréquentaient l’école communale , et les 3 ayant 14 et 15 ans allaient au  collège (Christophe) au collège Calvin        Jean & Roland étaient  au Collège moderne  alors situé rue d’Italie   (Actuel Collège de Candolle)(1)                        

Comme je vous ai dit, nous étions pour certains orphelins, certain étaient frères & sœurs, d’autre avait   encore       leurs parents, Parrain François & Marraine Odette n’avaient jamais utilisé les noms de Papa & Maman, même si     leurs temps étaient consacré le rôle d’un Père ou d’une Mère, même si pour moi Parrain François &         Marraine Odette, ce sont et seront toujours mes parents, aujourd’hui encore j’ai un amour indescriptibles après 70 ans, rare jour où je n’ai pas de pensée pour eux,                                                                                                                                              

Les Dimanche lors des visites des parents pour les enfants qui avaient encore des parents. Nous orphelins  nous      étions un peu en retraient, nous ne comprenions pas qui étaient ses gens, pour Parrain François & Marraine             Odette ses jours n’étaient pas toujours faciles.                                                                                                                                 

 j’ai un souvenir assez  loin , les parents venaient par le petit chemin à l'ouest venant du portail blanc, Oui parce       que il y avait deux entrées l'une à l'est l'autre à l'ouest, donc je m’étais aperçu que certains de mes frères et sœurs      (Enfants de Pierre-Grise)  ce plaçais vers ce petit chemin est attendaient là  au bous du chemin une silhouette,          marchait d’un pas tranquille quand un des enfants se mit à courir vers la silhouette ,  les bras en l’air , l’enfant ce       jetait dans ses bras, c’est alors que je me mit à regarder sur ce petit chemin, si  une silhouette viendrait une fois         pour moi , c’est là  je pense que Parrain François remarquas mon  comportement , assis attendant si une silhouette arriverait pour moi. Parrain François un jour  vint vers moi, il s’assis à côté de moi ont restât ainsi un moment, puis il m’expliqua que ces gens qui venais depuis le petit chemin du portail blanc, étaient les papas ou mamans de            certains des enfants. Pour moi  au début cela ne signifiait pas grand-chose, Parrain François et Marraine Odette       étaient mes parents. Mais ce jour-là Parrain François, ma appris que chaque enfants, avaient un papa et une              maman et que la mienne  était beaucoup tros jeune, pour m’élever et que je n’avais pas de papa c’est pour cela que   Parrain François  et Marraine Odette m’avaient pris à Pierre-Grise, cela m’a rendu un peu triste que je n’ai pas de    maman et papa. Mais l’affection que Parrain et Marraine me portait, disparu. Très vite cette tristesse est peu à peu    disparue. Je repris mes jeux dont le plus était d’aller me balancé sur une longue branche du grand cèdre du Liban,    qui est encore aujourd’hui mon arbre préférer à qui je parlais, ne souriez pas, mais quand j’étais triste c’est vers lui    que j’allais, sa branche qui nous servaient de balançoire  me calmais de mes petit coup de blues. A Chaque fois          quand je viens à Pierre-Grise, je vais vers lui pour comme un pèlerinage, pour lui dire tu vois je ne  t’oublie pas.         A propos de moi                                                                                                                                       

Je suis né le 30 aout 1949.Une jeune fille qui ma donner la vie cette jeune fille étant bien tros jeune je fus déposé     dans une pouponnière tenue par l’armée du salut (une association religieuse  c’est d’ici que Parrain François vint     me cherché dans cette pouponnière de l’autre côté du lac. Ce jours-là  ont m’avait habillé en belle tenus, une            Citroën 2 C.V,  était là, Un grand monsieur me pris par la main me laissa dire au revoir. Puis m’emmena vers la       Citroën, il m’ouvre la porte avant, est d’un bon je saut à l’intérieur  a cette époque pas de ceinture de sécurité dans les voitures, et ont quitta la pouponnière par un grand portail.                                                                                                  

A genoux sur le siège, je regardais l’entrée de la pouponnière s’éloigner, j’étais fasciné de voire la maison s'éloigner     et j’étais .Pour la première fois  je m’étais assis dans une automobile. La route fus longue quand nous sommes           arriver au Domaine de Pierre-Grise                                                                                                                                                     

J’ai fait connaissance de Pierre-Gris                                                                                                                        

 il était déjà la fin de l’après-midi, Parrain François me fit entré un grand hall d'entrée sur ma gauche un escalier en  demis cercle montait à l’étage, face à l'entrée une porte à double battent donnais sur une salle à l'intérieur sur            la gauche une autre porte double vitrée, qui elle donnais  sur la grande salle à Manger, là tous les enfants étaient       tous assis autour de la longue table au bout arrondis, au centre marraine Odette était assise coté vérandas à sa           gauche et sa droite des petites filles il y avait Irène la fille, de parrain François et marraine  Odette, puis                        Rosemonde, jacqueline, Magali, Claire et Christiane  c'était une jolie grande fille qui aidait  Marraine Odette à         s’occupé des filles ,en face Parrain François s’assit  il y avait à sa gauche et sa  droite des garçons, il y avaient                   Christophe, Jacky, Leonard, Maurice, Jean Maurice, Alain, Pierre, Jean-Paul ,Jaques ,Edmond, et moi ,un peu         plus tard Raymond vint rejoindre tous ce petit monde qui faisait Pierre-Grise ce quel est devenu.                                 

J’étais le benjamin pour quelques temps, mon nom P'tit Claude fut par la suite fus transformé par (Trifougnon)     est ce surnom fut inventé par parrain François, mais pourquoi (Trifougnon) ?                                                                     

Hé bien cela était très simple quand je suis arrivé à Pierre-Grise je suçais mon Index Gauche et de ma  main droite   je tournais mes cheveux au centre de mon crâne ce qui me fit une houppette sur la tête, de la Parrain François fit      une petit complainte que voici ( Trifougnon, champion quand il se gratte le trifougnon ,et quand il marche ont      vois son calçons qui dépasse de son pantalon) et tout ça sur le rythme de marche , est ce nom me reste encore, Luc  le plus âgé des fils de parrain François & marraine Odette m’appel toujours Trifougnon ou Gnoufgnouf Ou P’tit    Claude.

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