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Pierre Grise Gobelin sur les escaliers 1958.jpg
Pierre Grise (les escalliers) 2014
Pierre-Grise
Ecole de Genthod
Rue du Village
Mairie de Genthod
Le temple de Genthod

Mais revenons à Pierre Grise 

C’est le 23 Janvier 1953 que Parrain François appris que il allait bientôt déménager à Genthod dans une grande Propriété appelé Pierre-Grise, en effet. Le maire de la Commune Genthod.  Mr Jean Wenger  décédé le 13 Janvier 1953 , par testament  léguai Pierre-Grise à l’hospice général (HP) pour y consacré une maison d’enfants.  En 2018 lors de l'enterrement  de Marraine Odette avec un belle âge 102 ans, j'ai rechercher l'emplacement ou repose le donateur de Pierre-Grise (ci-dessous la photo de la pierre tombale de la famille Wenger). Mais revenons au récit, donc,  Mr Jean Marcel Lechner  Directeur général de l’Hospice vint le 23 Janvier 1953 voire Parrain François pour lui demander de prendre Pierre-Grise et par là laissé Les Ecureuils de Bellerive, voici ce que Parrain François à écris :  de Marraine Odette j'ai recherché l'emplacement ou repose le donnateur de Pierre-Grise ci-dessous la photo de la pierre tombale de la famille Wenger. mais revenons au récit, donc,  Mr Jean Marcel Lechner  Directeur général de l’Hospice vint le 23 Janvier 1953 est venu voire Mr Schelmmer (Parrain François) pour lui demander de prendre la direction de Pierre-Grise et par là laissé Les Ecureuils de Bellerive.

Voici ce que Parrain François à écris :

Le 23 Janvier 1953 Mr Jean Marcel Lechner Secrétaire Général de l’Hospice Général vint nous rendre visite  à Bellerive. Et il nous annonça que Mr Wenger étant décédé le 13 Janvier de cette année par testament, léguait sa propriété de Pierre-Grise à l’Hospice Général pour y installer une maison d’enfants    

  ( J’ai aussitôt  pensé à vous, Mr & Mme Schlemmer) pour prendre la direction de Pierre-Grise. Il y aura bien plus à faire qu’a Bellerive, car la maison est plus grande, mais nous avons l’intention d’en faire comme pour les écureuils »une Maison Familiale ». Puis il nous donna rendez-vous quelques jours après, nous voilà devant le Bureau de Mr. Lechner : nous devions,nous y rendre en voiture, aller à Pierre-Grise. Ce jour-là nous sommes descendus à Genève par le « Tram 9 »  et vers 15 heures  Mr Lechner  et un employé de l’Hospice Général qui servait de Chauffeur, après une petite demi-heure  nous sommes arrivés à Pierre-Grise. Ce fut un choc : Quel enchantement ……

C’était une grande maison de maître, de 20 pièces, au milieu des champs, des bois, des plans d’eau qui formait un parc de 18 hectares. Son propriétaire étant décédé 15 jours plus tôt, la maison semblait encore habitée.

Elle était agrémentée d’un très beau mobilier et de nombreux tableaux. du XVIII ème

Après la visite de la maison, nous fîmes celle du parc. Le temps était splendide, froid mais presque printanier. Nous découvrîmes avec étonnement, après un petit pont  jeté sur un ruisseau, la une série d’étangs (1a) qui en été étaient couvert de nénuphars en fleurs,

Voilà les tous premiers instants de pierre-Grise en tant que maison familiale qui allait recevoir beaucoup d’enfants dans sa longue vie qui je l’espère continueras encore longtemps. 

Sur le moment il me revient en mémoire .Que pour l’hospice Général Marraine Odette n’était qu’une personne à penne de second rang, pour la preuve un jour, Parrain François Etait très occupé il demanda ma Marraine Odette de descendre à Genève pour aller essayer et prendre des Habits à l’hospice Général ou des gens faisait don pour les enfants les plus démunis a cette époque cela n’était pas facile de se rendre D’abord à pied jusqu'à Bellevue puis prendre le train jusqu’à Cornavin (la gare CFF) puis le trame 12 qui nous emmenas par les rues basse, ensuite à pied dans la vielle ville pour atteindre les locaux de l’hospice général je pense que c'était sur la place du faux-bourg dans le vieille ville, là on nous à fait attendre, puis un Mr au crâne chauve le regard glauque qui sentait la naphtaline, comme tous les locaux  nous fit rentré dans une immense salle remplis de meuble en bois avec des centaine de tiroirs ou des habits y était déposé on nous a fait nous assoir puis le Mr au crâne chauve vint prendre mes mesures, il revint plus tard avec des calçons il m’ordonne de me mettre nu pour selon lui asseyez les calçons , la Marraine Odette à réagi , elle lui à dit Non ! C’est moi qui vais m’en occupé le Mr au crâne chauve vexez, lui dit "bien je vous laisse", puis marraine Odette ayant choisi les habits don j’avais besoin le Mr de l’hospice général revint et lui demande. Avez-vous un mot de Mr Schlemmer qui vous autorise de venir prendre des Habits pour ce pupille de l’état ?

Marraine Odette a eu beau lui dire que quelle était la femme de Mr Schlemmer , le Mr au crâne chauve ne voulut rien entendre, alors marraine Odette dépitée me pris par la main me dit, avec sa voix si douce "ont reviendras une autre fois", je sentais la tristesse de Marraine Odette comment l’on considérait les femmes à cette époque aujourd'hui j'ai des frissons dans le dos.

 

Mais revenons à table tout le monde étaient assis, Chaque enfants avait sa serviette attaché à un anneau avec son nom, le début du repas commençais par la prière nous étions assis les mains en prière parrain François récitait  une très courte prière 

puis marraine Odette servait tour à tous les assiettes passaient des mains à l’autre vide pour y revenir pleine a sa destination initiales , il y avait aussi des rituels , tel que  si on arrivait en retard ,ce n’était pas grave mais l’on devait toujours d’abord s’excusé de son retard et de demandé la permission d’entré , ce que Parrain François s’empressait d’accepter , avant de passer à table, d’avoir les mains lavés ce qui normale pour hygiène, une tenue respectable, on ne sortait de table seulement  quand Parrain François ou Marraine Odette ce levais , les plus grands débarrassaient ensuite les couverts de la table puis allaient au petit office  pour y faire la vaisselle   

 

Pierre-Grise, était pour moi évidement immense, avec mes trois ans, pas plus grand que trois pommes  à gauche le grand  escalier en demis cercle don le mur suivais la forme de l'escalier, tapissé d'une  grande fresque style d'un gobelin et qui nous emmenais au premier étage, c'était une laborieuse montée, mais arrivé en haut était une victoire, alors que la descente était casse-cou, une descente vertigineuse, à califourchon sur la rambarde, la descente prenait que quelque secondes, tous les atterrissages n’étaient pas toujours contrôlé, il y a eu quelques petit bobos sans gravité, j’étais un bambin de 4 ans à cette époque , tous ce que je voyais et qui m'entourais étais grands même l'énorme morbier avec son tic-tac du temps qui passe je voyais et qui m'entourais étais grands même l'énorme morbier avec son tic-tac du temps qui passe m'impressionnais, , juste à côté  un gong asiatique était là  pour l’appelle du dîner ou du soupé, détail  la  tenture représentant une scène champêtre, tous les meubles étaient du XIXème ou du XXéme.

Marraine Odette me fit découvrir ma chambre à côté de leurs appartements . Qui par la suite devint la chambre d’Irène à la naissance de Luc  leurs deuxième enfants, puis un peu plus tard la naissance de Jean-François, pour moi se sont comme mes soeurs et frères.

Marraine Odette me montra ma chambres et fermas les volets me mit au lit , et pour la première fois je reçus un baisé sur le front, je regardais les grand yeux de Marraine Odette qui me disait bonne nuit, P'ti Claude  dors bien, puis vint parrain François j’étais fasciner par ses yeux avec ses petites taches sur ces paupières, là il s’assis ont fit une prière  pour passer une bonne nuit , rassuré j’ai dû m’endormir rapidement, j’ai eu longtemps un sommeil si profond ce qui ma a provoqué des problèmes d’énurésie et aussi par le manque de parents biologique. Quand  je me suis réveiller, une jeune fille cheveux châtain très claire ouvrait les volets je me suis précipité vers cette fenêtre est là l’ image a été gravé dans ma mémoire pour toujours le Mont-Blanc magnifique était là face à moi j’étais hypnotisé par la beauté de ce que vis ,et là d’une voix douce la jeune fille vint a côté de moi, ce baissa est de son doigt  elle me montra la grande montagne blanche , et me dit, tu vois la gosse montagne c’est le  Mont-Blanc une très très grande montagne ou la neige ne fond  pas, je pris cette jeune fille par le cou, serré contre elle , me dit je m’appelle Christiane, de là est parti une amitié incommensurable.Entre une grande soeur et une maman.

Au moment où j’écris cette nouvelle j’ai les larmes qui me tombe sur les joues je suis triste car j’ai appris par pure hasard  que la  jeune fille s’en est parti le 22 juin 2014 , ce départ me rend triste une partie de ma vie vient de me quitter , je ne verrais plus ses grands yeux , je n’entendrais plus ses éclats de rire, je ne pourrais plus demandé « Ou est la Blonde de Genthod » mais ce qui me console c’est quelle à retrouver Christophe l’amour de sa vie, parti bien trop tôt, c'est le  papa de Francine et Pierre Alain

Pour l'anecdote « Ou est la Blonde de Genthod » je parle de cela c’est qu’un des garçons  de pierre-grise aimait toujours faite des farces je ne suis pas sûr mais je pense à Maurice, un jour qu’il était en vacance à l’étranger  il a envoyé une carte postale à Christiane et pour toute adresse-il avait  inscrit «  la Blonde de Genthod ,Suisse » et cette carte postale est arrivé à destination chez Christiane.Voire Photo de christiane sur (nouvelle photos)

 

Le domaine de Pierre-Grise.

 

Tous les jours j’allais joué dans le grand parc, côté ouest il y avait  un joli plan d’eau, j’aimais y joué, un long, jet d’eau montait à plus d’un mètre cinquante qui retombait en provocant de petites gouttes d’eau , pour éviter toute noyade il y avait des grilles de protection a l’horizontale sur le plan d’eau , des poissons rouge tournait en rond ,  et s'agitaient quand on y s'approchaient tros avec une tige de fleurs ont essayaient de les chicanés , mais bien sur je n’avais pas la moindre chance de les touchés , très vite je passais d'autre jeux , de mes petite jambes je galopais vers le grand bac à sable , depuis son bureau Parrain François pouvait voir ce que nous étions à faire comme bêtises , est moi je devais être le meilleur, les autre n’arrivait pas à ma taille, un jour parrain François me racontas.

Un Jour qu’il m’observait  en train de joué avec les grands volets du rez-de-chaussée, il que je m'étais  aperçus qu’une barre permettait de bloqué le volet à un angle voulus ou de le fermé totalement , très vite je me suis  rendu compte que si je plaçais cette barre dans une position à porte à faux, il me suffisait d’appuyer  et ainsi la barre allait s’ouvrir , mais c’est le contraire qui se passa la barre ce cassa net , je compris vite que là ma bêtise  allais avoir des conséquences, mais insouciant je suis parti pour aller trouvé une autre occupation, parrain François vint me voire , est me demande qui a cassé cette barre ?  C’est toi qui a cassé la barre du volet ? , mais au lieu d’avoué mon crime sur cette inoffensive barre, je vis comme souvent les coupables, non ce n’est pas moi ! Tu es sur p’tit Claude ?   Parrain François ce n’est pas moi ! Comme Parrain François n’aime pas les mensonges et que en plus il m’avait vue faire le crime en question, je me suis fait réprimandez fortement, pas pour le crime, mais pour mon mensonge, je n’arrivais pas assumé mes bêtises, c’est là que mes mensonges, ma joué des tours 

Parrain François était fière quand  jour où il a acheté une télévision pour cette époque c’était une révolution, j’ai vu une antenne poussé sur le toit, un câble longeait le cadre de porte depuis la salle de jeux et des devoirs d’école la porte  la porte à deux battants face au hall d'entrée face au hall d'entrée,sur la droite deux doubles portes tout en moulures pour pénétrer dans le grand salon, avec des meubles de styles XVIII ouXIX ème donc de cable allais se connecté au poste de télévision, quelques temps plus tard , ce câble fut coupé par qui ? je crois que l'on a jamais su, et pour la première fois que je n'avait pas  commis ce crime, et bien sûr mes mensonge à répétitions,  fit que Parrain François s’adressant à moi me dit, allez fiche moi le camps dans ta chambre , bien sûr je me suis fit réprimandé pour ce fort-fait , c’est là que j’ai compris que a force de mentir j’étais classé dans une catégorie de petit menteur et qu’il me faudra un moment pour être réhabilité comme un brave petit garçon.

Parrain François et Marraine Odette ont un cœur gros comme ça, ils faisaient du mieux ce qu’ils pouvaient, asseyent de me comprendre, de me corriger  de me mettre sur la bonne route, est je crois qu’ils y sont bien arrivé.

A Pierre-Grise au dehors ils y avaient des réglés à suivre, la règle première était interdiction absolu d’aller jouer vers les étangs du haut du domaine  sans un adulte, règle deux, ne pas sortir de la propriété sauf pour aller à l’école à Genthod ou à l’école du Dimanche ou d’aller ramasser les glands des chênes sur la route qui porte le même nom. Ou bien le samedi après-midi d'aller aux louveteaux et éclaireurs..

Pierre grise es un grand domaine d’environs 18 hectare le périmètre est bordé des deux routes celle du sud la route de Valavran là où était le portail blanc, à l’est  le chemin des chênes ou ce trouvais le portail vert, quand l’on vient de la route de Valavran par le protaille blanc, le chemin des chênes traverse le domaine, sur la gauche que l’on appelaient les petit étangs dans le petit bois ont y pouvaient joué en face les arbres plus que centenaire tel que  le cèdre mon amis avec qui sur sa longue branche je me balançais, juste pour vous faire une idée l’ont pouvaient si placé jusqu'à 3 enfants presque ensemble.

 Un chêne majestueux  qui habite encore une colonie de cordonnier en 1953 ont jouait avec eux, la dernière fois ou je suis revenu à Pierre Grise , j’ai vu sur ce chêne la colonie de cordonnier y étaient encore là voilà  60 ans  cet insecte , Pyrrhocoris apterus « punaise »), appelé aussi « suisse », « cordonnier », « soldat », « masque-nègres » ou encore « diable cherche-midi » en raison de son attirance pour le Soleil au zénith, est un insecte hémiptère hétéroptère de la famille des Pyrrhocoridae. Cette colonie est encore là, génération après génération extraordinaire non ? A quelque mètre au nord-ouest  il y avait un pin Araucanaque l'on appelaient pin australien

Ce pin est maintenant âgé de plus de 150 ans, il m’était familier. La dernière fois ou je suis passé à Pierre-Grise  à disparus, les arbres de Pierre Grise sont je crois maintenant protéger, ce qui ne peux que me réjouir des hêtres d’une splendeur en automne d’un rouge bordeaux , qui à la fin de l’automne virait a un brun rougeâtre avant de tombé au sol, les marronniers que montrait leurs puissance , Marraine Odette , un jour ma donnez deux marrons en me disant, tiens prend les et place les dans ta poche ça va te donner de la force, toute ta vie, depuis ces marrons me quitte plus soi dans mes poches ou à la maison , et voyez-vous, Aujourd’hui Marraine Odette à 102 ans, elle vient de nous quitter en décembre 2017 c’est pour ça que je garde mes deux marrons comme un trésor de la longévité sur, son cercueil j'y es déposé un marron en pensent à ce quel m'a dit tien est met le dans ta poche, « Marraine Odette je t’aime tu me manque tellement.  » Puis vient les grands sapins qui borde le chemin au nord du domaine, coté Jura souvent quand on y allaient se promener vers les hauts des étangs , on empruntait un chemin ou les sapins étaient alignés des deux coté, comme des gardiens protègent le domaine . Les étangs.  Ah! une splendeur et quel joie  pour nous les enfants de Pierre-Grise de pouvoir y allez accompagner d'un grand y se promener et un cauchemar pour Parrain François et Marraine Odette la peur de perdre l'un des enfants par noyade, à ce moment j’ai une pensée pour Edmond un des pensionnaires dons ses frères et sœur étaient à Pierre-Grise,

je vais essayez de vous décrire ce paradis.

D’abord quand on part de la maison plein nord un petit sentier de gravier fin qui  légèrement en pente  vous amenaient sur un joli petit pont flanqué entre deux étangs-là ont pouvaient voire les salamandres qui cherche les rayons du soleil leurs tache jaune nous permettaient de les distingués facilement des autres batraciens  puis les têtards, qui partaient dans tous les sens et les reste des œufs gélatineux, mais pour moi toujours curieux dès la vie je me lassais jamais , dans arbres abondais de volatiles , j’entendais tous ces chants , tel le pinsons, le rouge-gorge, la mésange, les hirondelles qui venaient chercher les insectes pour les ramener à l'endroit où ils  nichaient à la ferme, et même par moment les mouettes venu du lac , est parfois des cygnes venaient si reposé sur le grand étangs, Ah Oui le grand étang magnifique plan d’eau , longtemps j’ai cru que l’eau qui alimentait les étangs venais d’une source naturelle mais j’ai appris que les anciens propriétaires avaient fait de cette endroit avait  été fabriqué de main d’hommes ce coin est indissociable de Pierre-Grise, ce petit garçon que j’étais à cette époque , je le voyait immense la petite île au centre du plans d’eau, me semblais très éloigner du rivage au centre de l’île un jeune arbre donnais de l’ombre parsemé de rayon du soleil une mosaïque d’herbes et de petites fleurs, en penchant ma petite tête avec ma houppette au-dessus du plan d'eau Voir la page les nouvelle photos   je n’arrivais pas à distinguer le fond , cela était due aux nombreux feuillus, qui année en année déposaient leurs feuillages d’automne au fond de l’étang,  ce qui donnais un humus aquatique pour toute cette faune qui ainsi  puisse se régénérer comme cela  tous y trouvaient leurs compte, Batraciens, poissons végétales, etc…

L’été les étangs ce métamorphosait en un tapis de fleurs, un endroit que Claude Monet aurait aimé immortaliser.mais le plus beau de tous c'était les chants des oiseaux cacher dans les feuillages, mais le

son de la cloche sonne, je dois me dépêché c’est l’heure du dîner, est comme à mon habitude je prenais toujours le chemin des écoliers, cette à dire par les chemins de traverse, et essoufflé j’arrivais comme un bolide  dans la salle à manger, tout le monde étaient déjà assis et comme mon habitude, mes mains avaient les souillures de mes découvertes, bien sûr réprimande est hop direction  lavabo, me voilà de retour cette fois plus ou moins présentable.

Permettre moi une petite anecdote , dans la grande Salle à manger il y a deux belles alcôves au centre face à face accroché au mur d’assiettes en porcelaines de grandes valeurs du 19 ème, placer au  milieux  les assiettes un plats a dessert somptueux avec un filet d’or, la hantise de Parrain François et Marraine Odette que ses joyaux soient cassé, ils ont simplement trouvé une astuce, c’est vers noël que ce plats  était remplis de crème chantilly parfois avec des fruits mais le plus souvent avec de la meringue nous les enfants de Pierre-Grise évitaient ce s’approcher des alcôves, de peur de ne plus avoir avant Noël ce plats remplis à ras-bord de crème chantilly remplis de meringues.  Revenons à table la prière récité par Parrain François , après cela ont entendais que les clics que tics des fourchettes couteaux , A table c’est  Parrain François ouvrait  la discutions, qui étaient pour moi tros ennuyeuses . Mais par moment cela devenait chaotique quand la discussion se mêlait au bruit assourdissant des avions qui passaient exactement à la verticale de Pierre grise , en effet la piste d'atterrissage de l'aéroport de Cointrin était exactement dans l'axe  de la maison , là    le monde  marquait un temps d’arrêt ,seul les fenêtres se faisaient entendre les vitres tremblais  , les vibrations ce faisaient sentir à même le sol, puis le calme revenue les discutions reprenaient de plus belles au repas de midi, il n’était pas rare que ce manège ce répétait 3 à 4 fois . a midi. A la fin du repas , les plus grands débarrassaient la table passaient à l’office pour y faire la vaisselle, et comme un rituelle pour les petits c’était la sieste obligatoire, l’été Parrain François et Marraine Odette autorisait de faire la sieste au dehors sur des transats , les moyens et les grands eux souvent allais dans la chambres bleu les grands dans leurs chambres leurs chambres individuelle le au deuxième étage sous les combles aménagée pouvait  la chambre bleu  pouvais recevoir quatre lits  dans cette chambre un petite alcôve fermée par une porte  qui derrière ce trouvais une maquette  de train miniature , sur le plus grand mur, Parrain François avait dessiné une immense fresque  des cinq continents, ou l’ont pouvaient s'imagé de grandes aventures. Les adultes et les plus grands, il y avait comme un cérémoniales par beau temps ils allaient prendre le café sous l’arbre en face du grand Salon , une table de fer ainsi que chaises de bistro à la Française, est des transats  et un banc entourait l’arbre lui aussi en fer, les grands conversaient doucement , allongé sur mon transat je voyais Parrain François et Marraine Odette jeté par instant un coup d’œil si nous faisons la sieste calmement, cela m'amusais c'était comme un jeux dès que parrain François tournait la tête dans nôtres direction  vite je m'allongeais sur le transat. Puis l’heure est arrivé de partir à l’école au village de Genthod , cartable sur le dos , Marraine Odette ou Christiane contrôlaient si nous étions présentable, est hop nous voilà partis sur le chemin des chênes par le portail vert qui nous amenaient directement a l’école, ce chemin des chênes porte bien son nom en effet c’est là qu’en automne nous allions avec des sacs en jute ou plus couramment appeler sac à patate ramasser les glands tombé au sol, quand un sac était plein nous recevions un peu d’argents de poche pour les plus grand , pour les plus petit quelques friandises , je détestait d’aller ramasser les glands , pour moi seul les jeux comptaient , découvrir  la nature c'est ça qui  m’intéressais, j’étais un peu caractériel j’aimais faire ce qui me plaisais, pas de faire ce que l’on me disais , et   je n’aimais pas ramasser les glands , surtout  je ne voyais pas l’utilité , j’étais ce petit garçon qui aimais commencer, une chose,  mais incapable allez au bous des choses, il me fallait  passe à autre chose , comme si le temps m’étais compter. Plus tard j’ai appris que de finir une chose commencé, m’apporté une plénitude de la chose bien faite, même si aujourd’hui  je suis  toujours à reprendre un détail  sur un dessin entrepris. Oui car aujourd'hui à 68 ans j'aime peindre "voir la page  les nouvelles photos" et je joue assez bien de la guitare acoustique, petite Parenthèse. Donc me voilà donc sur le chemin des chênes allant à l’école, ma première institutrice fût Madame Margo, une dame d’un certain âge,  nous étions 26 petits élèves donc quatre  de pierre Grise.  

 

A 11h 10 nous rentions à Pierre Grise, quand la cloche sonnait c’était l’heure du dîner, puis nous retournions à l’école à 16h 10 nous voilà de retour  pour un gouter bien attendu une pomme et une branche de chocolat , puis le moment des devoirs, sous la surveillance de Christiane pour les plus petits, est de Parrain François   des plus grands, les devoirs fini c’était la rué au dehors  pour aller jouer sous les arbres en particulier un Arbre de Judée (Cercis siliquastrum)

Mais je vais m’arrêter pour vous donner quelques informations du chemin des chênes. le cadastre m'intéresse tous particulièrement, pour cause j'ai travaillé dans un bureau de géomètre cantonal pendant plus de 30 ans comme assistant géomètre.

 

Chemin communal reliant la route de Rennex au chemin des Chênes. Dans la partie consacrée au chemin des Chênes, nous avons vu que les noms de ces deux chemins avaient été inter changés. Le relevé communal de 1811, nous indique donc: « chemin des Chênes, qui sert de communication du chemin de Rennex avec celui de Pierre Grise, du nord au sud, longueur environ 100m et largeur environ 4,30m. Le chemin est bordé de superbes chênes, ce qui empêche de l’élargir, mais l’inconvénient est petite vu son peu de longueur. » Cette petite voie de communication est fort ancienne puisqu’on la voit très clairement sur le plan établi de 1720.

Cette terre de Pierre-Grise est reprit d’un lieu-dit situé sur les plans de 1720 et 1786, mais placé un peu plus haut. Le guide des chemins historiques du canton de Genève, nous renseigne sur l’origine de son appellation : la proximité d’une grosse pierre en forme de navette de tisserand donna son nom et marqua la limite du domaine du même nom, appartenant aujourd’hui à l’Hospice Général et dont la maison de maître fut élevée en 1857, au lieu-dit : « les Mouilles » pour le banquier Edouard Pictet-Prévost sur une parcelle de 18 ha d’un seul tenant ; selon le plan Mayer autrefois partiellement en vignes et hutins, pâturages et champs. Limité au nord par le « chemin de Collex à Genthod » à l’est par le « chemin de Valavran » et au sud par le chemin de Pierre-Grise. Le Conseil d’Etat entérina par un arrêté du 4 mars 1955 le choix de ce nom.

           

En 1720, simplement nommé « chemin de Genthod a Collex », actuellement, ce chemin communal relie la route de Valavran au chemin des Limites, mais il n’en fut pas toujours ainsi. En effet, suite à une demande, en ..., de Mme Jean-Ernest Wenger, alors propriétaire du domaine de Pierre-Grise, les dénominations « chemin des Chênes » et « chemin de Pierre-Grise » furent inversées. Aussi, lorsque l’on cite le relevé de l’état des chemins communaux de 1811, il faut faire attention d’inverser les données, le texte indique : « chemin dit de Pierre-Grise, servant uniquement à dépouiller les pièces des divers propriétaires, se dirige par une ligne courbe de l’est à l’ouest, à partir de la ruelle (chemin du Presbytère actuel), sur une longueur d’environ 1000m., sa largeur est très inégale et varie de 4 à 8 m., mais elle en a au moins 6 dans sa plus grande étendue ».

Dès son articulation avec la route de Valavran, il est accompagné par une allée complète de chênes centenaires. Entre leurs troncs cousirent des haies basses taillées, qui séparent parcelles et chemin, souvenir du bocage qui tissait le paysage de la région. Eléments typiques de la campagne genevoise, les chênes formaient une lisière naturelle et atteignent par endroits plusieurs centaines d’années. Jusqu’au milieu du siècle dernier les chênes soutenaient dans les champs les ceps de hutins. En milieu rural, le chêne prédominait sur les autres essences.

 

Le magnifique domaine de Pierre-Grise, à Genthod, est, depuis 1953, et grâce aux vœux testamentaires du dernier héritier de la famille Wenger, Jean-Ernest Wenger – maire de la commune en 1927 – consacré à la l’enfance dont le premier Directeur fut Monsieur et Madame François Schlemmer de 1953 à 1964 puis suivi par Nicole Cevey de 1963 à 1980 ce fut l’arrivée de Jacques Henriot un enfant de Pierre-Gris qui devint directeur de la maison et  Bruno Chevrey Directeur depuis 2008 que je ne connais pas personnellement.

Mais j'aimerais bien le rencontrer pour argumenter ce blog avec quelque anecdotes de la vie à Pierre-Grise Aujourd’hui ainsi que Nicole Cevey et jacques Henriod j'aimerais qui me contact. Merci à eux.

 

L’ancienne résidence d’été de la famille Pictet, ensuite léguée à l’Hospice général et qui accueille aujourd’hui des enfants en difficulté, vient d’être remise à neuf, pour la modeste somme de 6.000000 Frs. Les bâtiments ont été inaugurés, le 18 octobre dernier, en présence des autorités cantonales, notamment de Charles Beer, en charge du DIP (Département de l’instruction publique) et de François Longchamp, en charge du Département de la solidarité et de l’emploi, ainsi que des autorités communales, en les personnes de François Mazenod, maire de Genthod, et de ses adjoints, Andréas Baumgartner et Michel Stadler.

Pierre-Grise, autrefois maison familiale, est devenu aujourd’hui un internat éducatif pédago-thérapeutique. Entendez que le lieu accueille des enfants de 4 à 12 ans qui traversent une situation de crise et ayant des troubles du comportement. La mission de Pierre-Grise: «Permettre à l’enfant et sa famille d’évoluer suffisamment pour viser autant, et dès que possible, un retour en famille.» En clair, les enfants sont pris en charge ici par trois groupes (éducatif, pédagogique et thérapeutique) tandis qu’un travail de soutien et de collaboration est effectué avec la famille. L’équipe est composée d’éducateurs, d’enseignants de classes spéciales, d’une logopédiste et d’un psychomotricien.

 

 

Le transfert en 2007 de la Maison de Pierre-Grise à la Fondation officielle de la jeunesse (FOJ) a, dit-on, «donné un nouveau souffle à l’établissement». L’Hospice général, toujours propriétaire des lieux, a entrepris avec le DIP et la FOJ un programme de rénovation complet des bâtiments afin de mettre les locaux en conformité avec les normes de sécurité et, ainsi, perpétuer la vocation même de l’établissement. Le coût global de ces transformations, de plus de 6 millions de francs, a été financé pour près de la moitié par l’attribution par le Conseil d’Etat de successions laissées sans héritiers.

Aujourd’hui donc, place à une nouvelle Maison de Pierre-Grise avec des espaces administratifs séparés des logements, recréés pour assurer davantage de confort et d’intimité aux enfants. Les classes, auparavant situées à l’extérieur de la propriété, ont été réintégrées dans les bâtiments. Bref, de la modernité et de la lumière pour un lieu de vie essentiel.

Pierre-Grise reste et resteras un endroit ou la nature ayant droit sur tout .

Les enfants de Genthod   connectés... à la nature et à Pierre-Grise   9 DÉCEMBRE 2016

Voilà quelques jours, à l’occasion de la Sainte-Catherine, le canton de Genève, le DETA et la commune de Genthod ont invité 145 enfants à participer à la plantation d’un copalme d’Amérique dans le parc du magnifique Domaine de Pierre-Grise. Une rencontre dendrologie hautement symbolique à bien des égards. Elle marquait notamment le dernier acte de la célébration du jubilé du Fonds suisse pour le

paysage (FSP), menée à travers tout le pays et qui a débuté avec la plantation d’un pommier au Palais fédéral de Berne en mai dernier.

 

A la Sainte-Catherine, tout bois prend racine», dit le proverbe de la patronne des jardiniers; voilà qui présage, pour ce frêle copalme d’Amérique fraîchement planté par les élus et les enfants de l’école de Genthod, une longue et prolifique existence. Il figure parmi les milliers d’arbres qui ont été plantés à l’initiative du FSP, créé   en1991 par l’Assemblée fédérale et dont la mission est de «sauvegarder et gérer les paysages et les valeurs naturelles et culturelles».

Plus largement, il soutient et en courage toutes les initiatives sur le territoire helvétique visant à protéger et valoriser l’ensemble des ressources naturelles (eau, forêt, etc.) et à favoriser une gestion respectueuse des paysages ruraux traditionnels.

Le choix du Domaine de Pierre-Grise, situé à deux pas de l’école primaire de Genthod, pour clore la célébration des 25 ans du FSP, ne tient pas au hasard. Il fait écho aux vœux testamentaires de Jean-Ernest Wenger (ancien maire de Genthod), qui a légué l’ensemble de sa propriété en 1953 à l’Hospice Général. Ce dernier avait en effet un double souhait, faire de sa maison un lieu d’accueil pour les enfants et du parc, un havre de verdure à jamais libre de toute construction, il eut une petite dérogation a la volonté de Mr Jean Wenger, car le champ de la dîme fut un peu rogner  pour y construire des lotissements mais pour moi genthod reste une  Communs exemplaires.

La maison de maître de Pierre-Grise est bien des décennies une maison Familiale tenus par Mr et Mme François et Odette Schlemmer puis plus tard par Nicole   et enfin par Mr Jacques Henriod  aujourd’hui c'est un internat  éducatif qui accueille 16 enfants âgés de 4 à 14 ans. Le parc de 18 hectares, quant à lui, resplendit toujours, riche d’une flore et  d’une faune exceptionnelle.

Genthod est une petite commune rurale et résidentielle d’environ 2770 habitants, parsemée de bocages alternant champs agricoles, vignes et prés verdoyants.

De par sa situation géographique et son écosystème remarquable et fragile, elle participe au contrat «corridors biologiques» du secteur «Vesancy-Versoix».

Il s’agit en effet d’un périmètre abritant des plantes menacées et de nombreuses espèces animales protégées au niveau fédéral, dont le grand capricorne ou encore la chouette chevêche. Lors de son allocution, le maire Wolfgang Honegger a rappelé «l’importance de ces structures paysagères qui touchent toute a population et les enfants en particulier, gardiens de l’avenir connectés... à la nature

Voilà quelques jours, à l’occasion de la Sainte-Catherine, le canton de Genève, le DETA et la commune de Genthod ont invité 145 enfants à participer à la plantation d’un copalme d’Amérique dans le parc du magnifique Domaine de Pierre-Grise. Une rencontre dendrologie hautement symbolique à bien des égards. Elle marquait notamment le dernier acte de la célébration du jubilé du Fonds suisse pour le

paysage (FSP), menée à travers tout le pays et qui a débuté avec la plantation d’un pommier au Palais fédéral de Berne en mai dernier.

Cela me touche profondément que Pierre-Grise soie ainsi protéger

Mais revenons à Pierre-Grise en fin de soirée nous étions tous à table une agitation commençait les filleuls de Pierre-Grise, nous nous somment précipité vers les fenêtres de la grande salle à manger, en bas de la propriété sur le route de Valavran de nombreuses gyrophare illuminait la forêt qui délimitait la propriété de la route de Valavran. Excitation étaient à son comble, des gens avec des chiens fouillaient le bas delà propriété

il y avait endormement de gendarmes, toute cette agitation au bas du domaine nous intriguaient, une foule de gendarmes ainsi de que très nombreux policiers en civiles rôdaient le long de cette route cherchant quelques choses ou avaient trouvé quelques choses. Parrain François descendit en bas de la propriété pour demander des explications sur cette introduction dans la propriété de Pierre-Grise. Il y resta un long moment a parlez avec ces gens. Puis quand il revint il nous dit «  Oh rien de très important, allez les enfants monté dans vos chambres, et le lendemain j’avais oublié cette drôle de soirée, mais bien plus tard Parrain François nous a dit que le soir dernier ce qu’il avait appris, c’était si triste et horrible qu’il avait pas eu la force de nous le dire.

Voici le récit de cette triste affaire

La police à reçu un avis de disparition de leurs fille de 14 ans du nom de Bluette Ferrât le Lundi 24 septembre1956 ,disparue le dimanche matin au temple de Gentho dvers 10h00 et les parents avaient attendu le lundi pour annoncer la disparition de leur fille (Pourquoi attendre seulement le lundi ? pour avertir les instances judiciaire)

J’ai retranscrit ce que la presse de l’époque écrivait.

Une laborieuse et systématique battue avec l'aide de dix douaniers, de cent gendarmes genevois et d'agents de la sûreté, avec le concours également de chiens de police, a été faite vendredi 28. Septembre 1956  par un temps épouvantable, dans les bois, taillis et fourrés de la région, entre Versoix et Sauversy, à la frontière française, pour tenter l de retrouver quelques traces de la fillette Bluette Ferrât, disparue il y aura dimanche quinze jours pleins, après avoir assisté au culte au temple de Genthod. On n'a pas oublié que la jeune Ferrat, fillette de quatorze ans, n'avait que dix minutes de chemin à faire à pied pour se retrouver à Valavran, hameau au-dessus de Bellevue, où habitent ses parents. Or, on paraît avoir à peu près acquis la conviction que la pauvre enfant, dont l'intelligence n'atteignait peut-être pas le niveau de l'âge, n'a pas dû céder à quelques juvéniles désirs de fugue. On serait également d'avis qu'elle n'a pas été non plus l'objet d'un enlèvement. Si l'on fouille maintenant avec de telles forces de police et de façon systématique, tous les bois et huiliers de la contrée avoisinant le domicile de ses parents, et cela jusqu'à la frontière française, mais non pas au-delà, c'est sans doute qu'on a acquis la certitude qu'il y a lieu désormais de limiter strictement les recherches à cette région- là. Et c'est le corps de la jeune Ferrât que l'on compte découvrir. Car l'on ne pense plus à la retrouver vivante.

Une première battue sans résultat Malheureusement, la battue de vendredi n'a pas donné de résultat. Mais dès samedi on procédera à une nouvelle battue analogue, et cela dans une autre forêt avoisinant la même région.

 

Malgré les recherches poursuivies samedi, avec les chiens policiers et avec la même persévérance et la même tactique consistant à sonder les moindres recoins, fouillis et fossés de la région où habitait la jeune Ferrât, les résultats de cette deuxième battue exécutée également par les forces de police genevoises, sont demeurés désespérément nuls. Toujours rien n'a pu être découvert qui aurait permis d'élucider quelque peu le mystère de la disparition, dans des circonstances si particulières, de l'enfant Ferrât.

Mais il n'est pas question d'arrêter les battues en nombre. Celles-ci vont effectivement être reprises lundi, tout aussi minutieusement et dans la conviction que c'est bien dans la contrée que l'on pourra finalement savoir ce qu'il es t’advenu de Bluette Ferrât. La semaine dernière a marqué le quatrième mois de la disparition de la jeune Yvonne-Bluette Ferrât, l'écolière de quatorze ans, qui n'a plus été vue après qu'elle devait s'être rendue, ce dernier dimanche de septembre, au culte du Temple de Genthod. On n'a pas oublié que d'immenses battues avaient été organisées, dans la région, pour retrouver la jeune Ferrât, vivante ou morte. Sans résultat aucun, d'ailleurs. Toutefois, à l'heure qu'il est, la police  genevoise n'a nullement  renoncé à son enquête.

Quatre mois après la disparition d'Yvonne-Bluette Ferrât le 12 Février 1957 on pouvait lire dans la presse.

 

Comme nous l'avions laissé entendre à la fin du mois dernier, la police genevoise, après les recherches incessantes et les battues avec chiens policiers, Qu’ elle avait effectuées dans la contrée de Genthod, et pas au-delà, Pour percer l'énigme de la disparition de la jeune Ferrât, avait de plus en plus fermement la conviction que ce ne devait pas être très loin de son domicile de Valavran que l'on retrouverait le corps de l'écolière de quatorze ans. Car, les inspecteurs et leur chef étaient convaincus également qu’ 'un hasard, plus ou moins proche, amènerait la découverte, non plus de la fillette vivante, mais morte, hélas ! et assassinée. Or, c'est bien, en effet, à une distance relativement faible de chez elle qu’ 'un chauffeur-livreur et un maçon qui cherchaient des vers pour la pêche(1), dans une campagne qui borde le chemin des Chênes, lequel, du domicile des Ferrât, mène précisément au temple de Genthod, où Yvonne-Bluette était censée s'être rendue, ont enfin retrouvé son corps sous une faible couche de terreau et de feuilles mortes. Dans l'état que l'on peut deviner, depuis quatre mois et demi que l'écolière n'avait plus été aperçue nulle part, du moins par aucun témoin sûr de son dire.

Les restes de la fillette ont immédiatement été transportés, après que les policiers avec leur chef et le juge d'instruction Pagand, chargé de l'information se furent rendus sur place, à l'Institut de médecine légale, où le médecin légiste a eu fort à faire, vu l'état du corps, à déterminer les causes exactes de la mort. Le crime ne fait pas de doute Il n'est pas douteux, en effet, que l'adolescente n'ait été assassinée. Tout l'indique dans la façon dont le corps a été découvert. Bluette Ferrât étranglée

 

Mais, de plus et, dès le premier jour, la police, dont les investigations du début avaient été retardées par le fait que la disparition d'Yvonne-Bluette Ferrât ne lui avait été signalée que le matin du 24 septembre, alors qu’ 'elle n'était pas revenue à son domicile depuis la veille au matin, n'avait pas été sans nourrir certaines présomptions sur les .raisons de sa disparition.

La preuve en tout cas, si l'on ne peut encore à coup sûr parler d'un assassinat plutôt que d'un meurtre au sens juridique du terme, il est établi de façon non équivoque maintenant qu’ 'il y a bien eu crime et non par exemple tentative de dissimulation de cadavre après quelque accident de la circulation. En effet, un des résultats de l'autopsie des misérables restes en décomposition de la pauvre Yvonne-Bluette a fait voir , par des traces non douteuses, qu'elle avait été étranglée avec quelque ligature improvisée. Elle porte encore autour du cou l'attache utilisée par le meurtrier.

Mais dans quelles circonstances le crime a-t-il été perpétré ? Je me le demande, et après tout dans quel lieu ? C'est ce que l'on doit déterminer maintenant. Car il est pour le moins étrange que les battues de police, avec chiens dressés, » ciliées immédiatement après la disparition de l'écolière n'aient donné aucun  résultat.

Alors que l’on apprend aujourd'hui qu’ 'elles auraient été poussées précisément jusque dans la campagne de Pierre-Grise où le corps a été découvert.

il est surprenant aussi que celui-ci étant dans un état de putréfaction avancé et fort peu enfoncé d'ailleurs dans le terreau, aucune odeur suspecte n 'ait intriguéles chiens ou ceux qui passaient dans le voisinage immédiat.

J’ai poussé mes recherche pour savoir si l’on a retrouvé l’assassin est  jusqu’a maintenant je n’ai pas eu de résulta. L’assassin a-t-il été arrêté ? Je ne le sais pas, mais cet épisode dans la propriété Pierre-Grise est resté figé dans ma vie à pierre Grise. La seule question que je me pose encore Aujourd’hui. Un, c’est pourquoi les parents ont attendues le lundi pour signaliser sa disparition, deux ont il cherché leur fille ? Ont-ils demandé de l’aide au voisinage ? Sont-ils allé au temple pour demander si quelqu’un ont vu leurs fille ? A cette époque j’avais 8 ans et Bluette n’avait que 14 ans donc j’ai dû la croisé à l’école à Genthod.  

 

(1) dans ce récit ce qui m’étonne c’est qu’en février les sols son gelé est que les vers pour la pêche que ce chauffeur-livreur et  maçon cherchaient, son enfouis profondément dans les sols, et de plus la propriété était fermé par une long barrière tous le long du périmètre de Pierre-Grise seul un gros portail y fermais l’accès car cette endroit était un dépôt réservé  pour y déposé les feuilles mortes tombées sur la route de Valavran. 

Pour conclure l'assassin ou les assassins n'ont jamais été arrêté tout le monde a Pierre-Grise ont été interrogé, j'étais bien tros petit a cette époque pour y être interroger mais tous cette agitation  resteras dans ma mémoire

Mais revenons a Pierre-grise  est laissons ce triste épisode.

Les Arbres

Ce qui attire quand vous pénétrer dans la propriété c’est la végétation  des arbre majestueux toute les essence si côtoie des chêne plus-que centenaires des hêtres qui change à chaque saisons mais pour nous les enfants tous ses arbres était nos châteaux fort, nos citadelle. mais comme je vous les dis les arbres du domaine ont une relation très particulaire avec les enfants de Pierre-Grise  d’abord il a à le « Cèdre » ou il ne se laissait pas montez comme ça d’abord la position de ses branches faisait que il fallait atteindre un certaine âge pour atteindre le haut, je ne sais pas si Parrain François est allez en haut du cèdre mais tous les enfants de Pierre Grise entre les années 50 à 80  sont monter a sommet mais la vue est extraordinaire l’on aperçoit toute la rade de Genève ainsi que les alpes majestueuse ,le Salève, Thonnon,Evian,Yvoire et bien sur le Jura et bien sûr le majestueux Mont-Blanc

le chêne en 1958 vers 21h 30 un orage c'est abattue sur la commune de Genthod un orage d'une violence inouïe d'une violence indescriptible des éclairs à chaque seconde on aurais dit la fin du monde Les plus grands eux regardaient le spectacle, ont rigolaient pour cacher notre peurs, nous les petit apeurer par cette violence de la nature et soudain puis là ! Une boule de blanchâtre j’aille des nuages noirs menacent un bruit sifflent dans nos oreilles suivi d’un claquement indescriptible fit que je me suis retrouver au sol tremblent apeurer par ce que je venais de voir et ressenti. au matin le calme revenu les reste des nuages du soir  étaient toujours là noir et gris les rayons du soleil avait de la penne à traverser ceux-ci seul l'horizons étais , la éclairer, sur  la chaîne du jura ainsi que les alpes le domaine étais encore sous les restes de cette orage  qui de mon point de vue fut le plus Violent que j'ai connus, nous sommes allé voir là ou le foudre étais tombé sur le chêne une longue faille qui partait du sommet et une longue faille qui partait du sommet et s'enfonssais dans le sol profondement la faille avait bien dix centimètre de large , aujourd'hui avec le temps la blessure a disparue et ce chêne est encore plus beau qu'avant.

Titre 1

Le donnateur de Pierre-Grise

      Emplacement à vie de la Famille Wenger (Cimetierre de Genthod)

Inscription Jeau Wenger 1875-1953

Quelques photos de la vie a Pierre-Grise

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